Effectivement, nous intervenons sur un terrain où il y a plusieurs acteurs. Cependant, nos mandats sont différents. Notre mode opératoire, c’est un mode opératoire de travail avec les forces centrafricaines, pas avec d’autres personnels de sécurité. Et notre redevabilité est connue. Nous sommes redevables aux membres des Nations unies, au Conseil de sécurité et au siège des Nations unies. Eh bien, ces échanges n’existent pas. C’est pour ça que je n’utiliserai pas le mot « côtoyer », parce que nous opérons de manière différente, de manière parallèle. Si parfois il y a besoin absolument d’avoir un échange d’informations, nous le faisons par la partie centrafricaine et les forces centrafricaines. Je suppose qu’elles jouent leur rôle de coordination avec tous ceux qui sont invités sur leur territoire.