Chaque pays africain peut et a intérêt à justement rechercher des partenariats qui répondent à ses besoins. Mon enjeu, c’est de proposer un partenariat et des réponses qui soient à la meilleure qualité. Et que donc, finalement, ces pays africains, et notamment pour ce qui me concerne, les chefs d’état-major de l’armée terre, se disent : « Tiens, ce que me fournit la France, c’est quand même de bons niveaux, ça m’intéresse, ça se construit dans la durée. » On apporte d’abord une expérience. Nous avons avec ces pays africains une expérience longue. La réponse que la France veut apporter, elle se veut globale. Elle s’inscrit dans une réponse, de l’interministériel avec une question d’aide au développement de culture et ce sont tous ces aspects de la qualité de la réponse qui doivent amener les partenaires à nous faire confiance et à coopérer, à être en partenariat avec nous.