Vous êtes ici
Accueil > Assurances, Economie, Microfinance > Économie > Actualité > Special numéro 1000 > Le numéro 1000 de la version tabloïd en kiosque

Le numéro 1000 de la version tabloïd en kiosque

Il est parfois important de profiter de certaines circonstances (chiffre 1000), pour faire l’historique de sa vie aux proches et sympathisants pour mieux se faire connaitre.

Chers lecteurs, lectrices et partenaires, vous avez en main l’édition N° 1000 de la version tabloïd du journal « Le Financier d’Afrique ». Nous profitons de ce chiffre symbolique pour vous relater le cheminement de votre revue qui a commencé avec la version magazine en septembre 1999. Par la suite, la deuxième édition de cette version est parue en 2000 et la troisième en 2001. Cette périodicité involontaire a fait de cette version, une sorte « d’annuaire qui ne disait pas son nom », pour reprendre les termes d’un défunt confrère de Cameroon Tribune, Thomas Ouatedem, de regrettée mémoire.

En fin 2001, au regard de nos moyens financiers, nous avons compris qu’il était impossible de continuer seulement avec le magazine dont le coût de production était très élevé. C’est ainsi qu’en janvier 2002, nous décidons de lancer la formule tabloïd avec le même nom et le numéro 001 paraît le 5 février 2002. Ce premier numéro est sorti la veille d’un voyage que nous faisions à Libreville au Gabon, où nous avons profité de l’occasion pour signer un contrat de distribution avec la Société gabonaise de presse (Sogapresse), la consoeur de l’ancienne Messapresse au Cameroun. Au cours de cette année, nous avons pu produire 11 éditions, ce qui en faisait de facto un mensuel. A partir de 2003, nous sommes allés à plus de 12 numéros par an, atteignant parfois 30 parutions l’an entre 2005 et 2007.

En fin 2007, nous décidons d’adopter une périodicité fixe en passant hebdomadaire à partir de janvier 2008 paraissant tous les mardis. Le pari a été tenu pendant neuf ans sans discontinu, sauf certains jours fériés et les deux dernières semaines de décembre, jusqu’en fin 2016, année au cours de laquelle nous avons encore pris la décision de changer à nouveau la périodicité pour devenir bihebdomadaire. Depuis janvier 2017, avec votre concours et votre soutien, nous essayons de vous produire chaque lundi et jeudi de la semaine, une édition de votre journal qui a entamé le mois dernier la sixième année de cette périodicité.

Au moment où nous franchissons de cap de 1000 éditions du tabloïd, le magazine est devenu mensuel depuis 2020 et nous sommes rendus à la 88ème édition en ce mois de février 2022. Rappelons qu’au-delà de l’information classique, cette version est une véritable plateforme de communication pour les entreprises, surtout pour les Petites et moyennes entreprises qui sont moins connues. C’est notre manière à nous de les encourager sur cette voie. Le site d’information du journal est lui aussi opérationnel de manière constante depuis 2018. La production des informations en continu sur la plate forme sera lancée au cours de la huitième édition du salon de l’entreprise « Promote » qui se déroulera à Yaoundé du 19 au 27 février 2022. Et à partir du mois de mars 2022, vous pouvez compter le site parmi ceux à visiter chaque jour pour des informations économiques et financières sur l’Afrique centrale.

Chers lecteurs, lectrices et partenaires, nous restons toujours à votre disposition pour des critiques constructives et comptons sur vous pour relever le défi du numérique qui s’impose..

REACTIONS

André Alexis Megudjou, DG CCA-Bank
« Exceller dans le numérique pour plus d’exploits »

Bravo au business Angel de ce projet, j’ai nommé M. Tchuenkam Boniface, jusqu’à ce jour Directeur de publication que nous félicitons. Nos félicitations vont également à l’endroit de ceux de son personnel restés fidèles à l’institution et à ses valeurs jusqu’à ce jour.

A 1000 numéros, le Financier d’Afrique fait partie des champions nationaux de la presse privée pour être resté constant dans sa ligne éditoriale et la qualité de l’information pendant près de 20 ans. Recevez, mes sincères encouragements ainsi que ceux du CCA-BANK. Nous espérons vous voir par ailleurs exceller dans le numérique pour plus d’exploits.

Térence Bindjeme Ella, Enseignant-Chercheur Université de Douala, Faculté des Sciences Économiques et de Gestion Appliquée, et consultant financier.

« Dans le fond, je trouve que les titres et sujets traités sont dignes d’intérêt »

J’apprécie particulièrement le journal car il ne se cantonne pas sur un seul pays, mais fait véritablement une vue d’ensemble de l’actualité économique africaine comme le souligne son titre. Il a aussi le mérite de réveiller des sujets économiques apparemment dormant, mais rédondants, et transversaux qui sont susceptibles non seulement d’informer, mais aussi de réveiller la curiosité intellectuelle, de relancer les grands débats théoriques et la culture économique nécessaire à la préparation des concours, sur la base des faits. Avec le Financier d’Afrique, on retrouve des sujets d’examen de culture générale, d’économie et de cas pratique. Les décideurs retrouvent une compilation des faits présentés de façon professionnelle sans laisser percevoir le penchant des journalistes qui demeurent très professionnels. Je peux juste dénoncer le fait qu’il soit en majorité cantonné sur l’Afrique centrale et aussi qu’il soit à dominance de langue française. On souhaiterait 50% français et 50% anglais.

Jean Claude Ekoube, Chef de la Cellule de l’Information et de la Communication de la Direction Générale des Douanes.

« Les sujets abordés sont d’actualité et d’un impact réel sur la visibilité du pays »

parmi la presse spécialisée en économie, j’ai connu une aventure singulière avec « Le Financier d’Afrique » depuis 2007. 15 ans plus tard, le professionnalisme journalistique et la pertinence de la communication thématique continuent d’alimenter les publications de ce noble canard. Chaque semaine, les sujets abordés sont d’actualité et d’un impact réel sur la visibilité des administrations publiques et l’accélération de l’économie vers de nouveaux challenges nobles. Le Cameroun, l’Afrique centrale, l’Afrique et le monde sont sous le spectre lumineux de l’actualité dans « Le Financier d’Afrique ». Il s’est toujours particulièrement montré disponible pour l’accompagnement communicationnel des Douanes Camerounaises. Il a toujours répondu favorablement à nos sollicitations, pour une information douanière de qualité auprès de l’opinion publique nationale et internationale.

Bertrand Assene Foe, Receveur municipal de la Communauté urbaine de Yaoundé

« Très satisfait des efforts fait pour respecter la périodicité »

Le Financier d’Afrique est un support médiatique que je découvre lorsque je suis encore à l’école. Dans la sphère médiatique du pays, si je ne me trompe, c’est le premier journal spécialisé économique et financier du pays. J’apprécie la manière de ce bihebdomadaire d’aborder les sujets, surtout sa perspicacité en termes d’analyses. Le lecteur que je suis est très satisfait des efforts que l’équipe rédactionnelle fait pour respecter la périodicité. Au niveau du traitement de l’information, ce journal est irréprochable. Les sujets sont traités sans passion et avec objectivité. Par contre, c’est un constat que j’ai fait, le ventre mou de ce journal réside au niveau de la confiscation de la parole. Il ne donne pas suffisamment la parole aux experts pour mieux expliquer les sujets en profondeur. Si je peux émettre un voeu, c’est que Le Financier d’Afrique qui a la singularité d’être un journal panafricain parce que traversant les frontières, passe de bihebdomadaire à quotidien.

Rosine Nkonla Azanmene, Celcom Minepat

« Résilient dans un environnement économique pas toujours reluisant »

S’il y a des éléments éloquents qui singularisent le bihebdomadaire Le Financier d‘Afrique, c’est bien sa constance dans le choix éditorial, sa régularité et sa capacité de résilience dans un environnement économique pas toujours reluisant. Oui, Le Financier d‘Afrique a su consolider ses acquis, baliser sa voie, en bâtissant sur ce roc qu’est le professionnalisme et le sens de la responsabilité citoyenne. Le Financier d‘Afrique fait aujourd’hui partie des journaux de référence sur l’actualité économique et financière au Cameroun et en Afrique Centrale, et le Minepat y trouve son compte.

Laisser un commentaire

Top