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Le programme Techwomen 2022 lancé

Les postulants ont jusqu’au 5 mai 2021 pour soumettre leurs candidatures.

Depuis quelques années, le programme Techwomen soutient des dirigeantes femmes à travers le monde, dans les domaines de la science, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) en leur fournissant un accès et une opportunité de progresser dans leur carrière et de poursuivre leurs rêves.

Ce programme réunit des femmes leaders émergentes d’Afrique, d’Asie centrale et du Moyen-Orient, ainsi que leurs homologues américaines, dans le cadre d’un programme de mentorat professionnel et d’échange. Pour prendre part à ce programme, les candidates doivent être citoyens et résidents permanents de l’Algérie, du Cameroun, de l’Égypte, de la Jordanie, du Kazakhstan, du Kenya, du Kirghizistan, du Liban, de la Libye, du Maroc, du Nigéria, du Pakistan, des Territoires palestiniens, du Rwanda, de la Sierra Leone, de l’Afrique du Sud, du Tadjikistan, de la Tunisie, du Turkménistan, de l’Ouzbékistan ou Zimbabwe au moment de la candidature et pendant la participation au programme.

Pour le reste des critères de sélection, il faut être des femmes ayant au moins deux ans d’expérience professionnelle à temps plein dans les domaines des STIM, avoir au minimum un baccalauréat, un diplôme universitaire de quatre ans ou l’équivalent, avoir la maîtrise de l’anglais écrit et parlé, être éligible pour obtenir un visa de visiteur d’échange J-1 américain, ne pas avoir demandé de visa d’immigrant aux États-Unis (autre que le visa d’immigrant pour la diversité, également connu sous le nom de «loterie des visas») au cours des cinq dernières années, ne pas détenir la citoyenneté américaine ou être un résident permanent légal des États-Unis.

En outre, la préférence sera accordée aux candidates qui se sont démontrées en tant que leaders émergents dans la voie professionnelle choisie par leur expérience de travail, leur expérience de bénévolat, leurs activités communautaires et leur éducation. Aussi, qu’elles sont déterminées à retourner dans leur pays d’origine pour partager ce qu’elles ont appris et encadrer les femmes et les filles.

Plusieurs jeunes femmes camerounaises ont déjà pris part à ce programme. Il s’agit notamment de Christelle Carine Mekuate Tayou, Marthe-Beatrice Kapseu, Dorothee Danedjo Fouba, Germaine Erocknfore, Sophie Ngassa, Horore Bell Bebga, Crescence Elodie Nonga, etc.

A travers ce programme, « nous glorifions vos accomplissements extraordinaires en tant qu’anciennes boursières du programme Techwomen. Les États-Unis sont honorés d’établir un partenariat avec des femmes entrepreneurs comme vous, dont l’histoire peut inspirer les femmes camerounaises et les filles à suivre votre exemple de concevoir un rêve et à persévérer pour l’atteindre », avait alors déclaré Roberto Quiroz II, à l’époque Conseiller aux affaires publiques à l’Ambassade des Etats-Unis au Cameroun. Et de poursuivre : « Nous sommes encouragés de savoir que le programme Techwomen a pu s’étendre dans vos réseaux professionnels avec vos homologues aux États-Unis et d’autres femmes leaders africaines comme vous, dont les efforts contribueront grandement à promouvoir un avenir de prospérité pour vos concitoyens grâce à plus d’innovation et une croissance du secteur privé. Comme le Président Obama a dit : aucune nation qui cherche à avancer, les États-Unis inclus, ne peut le faire sans les talents immenses et les contributions de femmes ».

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