Il va désormais se consacrer au développement international de la banque selon un communiqué signé par son PCA. après quinze années consécutives en qualité de dirigeant du Crédit Communautaire d’Afrique S.A, André Alexis Megudjou cède son fauteuil de directeur général de CCA-Bank à Marguerite Fonkwen Atanga. L’information est contenue dans un communiqué récemment signé par Albert Nkemla, président du Conseil d’administration de la banque dont LFA a obtenu copie. Sa nouvelle mission consiste au développement international de l’institution bancaire. Selon des sources internes, elle ne se limite pas qu’à la création des filiales notamment en zone Cemac (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale) et dans l’Uemoa (Union économique et monétaire ouest-africaine), mais leur implantation. Une initiative qui cadre avec le
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Les étudiants de l’Ucac édifiés sur la digitalisation des services financiers
C'était au cours d'une conférence organisée le 16 avril dernier à Yaoundé par la filière Banque et Finance de l'Université catholique d'Afrique centrale en partenariat avec CCA-Bank. L’amphi SJP de l’Université catholique d’Afrique centrale (Ucac) de Yaoundé, campus d’Ekounou-Ayéné, a servi de cadre à la Conférence banque et finance sur la thématique relative aux « dynamiques de digitalisation dans le système financier de la zone Cemac : Bilan et perspectives ». Organisée par les étudiants en master de la filière banque et finance de cette institution académique avec le soutien de CCA-Bank, sponsor officiel, cette rencontre a connu la participation des experts des secteurs de la banque et de la finance ainsi que du digital. La phase protocolaire d’ouverture a été ponctuée
CCA-Bank au secours des établissements de microfinance
Outre la réduction des couts d'exploitation, ces structures vont être davantage compétitives et faire face à la concurrence selon le directeur de cette banque privée. Née de la crise des banques dans les années 1980, la microfinance est aujourd’hui menacée d’extinction par la venue de nouveaux opérateurs, notamment ceux opérant dans les télécommunications, qui, du jour au lendemain, se sont investis dans le segment du transfert d’argent (mobile money). Pourtant, les Etablissements de microfinance (EMF) sont supposés s’occuper des couches sociales n’ayant pas accès au système bancaire classique, ou du moins, rejetées par ce dernier. Ceci à travers la promotion de l’épargne et l’éducation financière. Or, l’avènement du « mobile money » semble venir mettre à mal cet idéal. D’après les