L’organisation de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Total Energies 2021 par le Cameroun, va connaitre des rebondissements jusqu’au bout. Les Camerounais qui attendent cet instant depuis 50 ans, croyaient enfin être débarrassés de toutes frayeurs après la signature de l’Accord-cadre le 22 octobre dernier entre la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), le Cocan et la Confédération africaine de football (CAF), alors même que l’évènement avait essuyé un premier report. Tout comme la cérémonie de tirage au sort qui avait elle aussi, été reportée de juin à août 2021, semant davantage le doute au sein de la population quant à l’attribution définitive de l’organisation de cette 33ème édition du plus grand rendez-vous sportif du continent au pays des Lions
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Me Claude Assira, Avocat au barreau du Cameroun sur la mise en garde de la Confédération africaine de football (CAF) sur la construction du stade d’Olembe, In Facebook.
CAN 2022 : sommes-nous capables d’avoir un peu de honte. Malgré sept ans de préparation. Malgré des milliards engloutis. Malgré les visites des officiels de la CAF. Malgré les promesses faites par le ministre Bidoung Mpkatt. Malgré les engagements du président de la République. Malgré la mise en place d’une task-force. La fierté nationale n’a jamais pu se manifester pour nous sortir de notre indolence, de notre amateurisme, de notre inconscience, de nos inconséquences, de nos turpitudes. La dernière gifle de la CAF fait mal à mon patriotisme. Très très mal… !
L’accord-cadre enfin signé
Le document a été paraphé le 22 octobre dernier à Yaoundé entre le premier vice-président de la CAF, le président par intérim de la Fecafoot et le président du Cocan 2021. C’est le dernier acte qui vient dissiper les inquiétudes quant à l’organisation par le Cameroun, de la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Total énergies 2021, prévue du 9 janvier au 6 février 2022. Initialement prévu pour 19 octobre dernier, l’accord-cadre relatif à l’organisation de ladite compétition a finalement été signé le 22 octobre 2021 au Palais polyvalent des sports de Yaoundé (Paposy). Le document qui lie juridiquement le pays organisateur de la CAN à la Confédération africaine de football (CAF) a été paraphé par Augustin Senghor,
Une préparation de la CAN sous silence ?
Les autorités camerounaises peuvent désormais pousser un grand ouf de soulagement, après la signature avec la Confédération africaine de football (Caf) le 22 octobre 2021, de l’accord-cadre sur l’organisation de la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2021), prévue du 9 janvier eu 6 février 2022. Le paraphage de cet important document vient ainsi dissiper toutes les inquiétudes, surtout que la première cérémonie de signature initialement prévue le 19 octobre dernier, avait connu un atermoiement, suscitant davantage le doute sur l’attribution définitive au Cameroun, de l’organisation pour la deuxième fois de son histoire, de la plus grande compétition sportive du continent. En effet, à travers ce contrat qui le lie dorénavant avec l’instance faitière du football africain, le
Les mensonges des officiels camerounais sur le stade d’Olembé
Cette infrastructure sportive en construction à Yaoundé depuis environ 10 ans n’a pas encore cessé de faire parler d’elle après avoir engloutit le prix d’au moins cinq stades équivalents. Le premier match international de football à huis-clos opposant le Cameroun au Malawi s’est certes joué sur ce stade le 3 septembre dernier, mais une lettre de la Confédération africaine de football (CAF) adressée le 2 septembre à la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) vient refroidir les ardeurs des fans Camerounais du football. « Suite à nos derniers échanges au sujet du match en objet, aux Informations échangées avec le Ministre des sports et avec le responsable de notre équipe venue évaluer l’état du stade d'Olembe, dans lequel le match en
Le Sud-africain Patrice Motsebe aux commandes de la CAF
Patrice Motsebe, 59 ans, est le nouveau patron du football africain. Le Sud-africain a été élu par acclamation le 12 mars dernier à la tête de la Confédération africaine de football (CAF), en présence de 52 présidents de fédérations africaines. Son arrivée à la présidence de l’instance faitière du football continental est une grosse surprise dans la mesure où, cet amoureux du football n’a jamais dirigé ni la fédération, ni la ligue de football professionnelle de son pays à l’image de ses prédécesseurs. Il est tout simplement le propriétaire et président du club de Mamelodi Sundowns, vainqueur de la ligue des champions et de la supercoupe de la Caf respectivement en 2016 et 2017. Enfant de township et tout premier
Augustin Senghor, candidat à la présidence de la CAF, sur la gestion de l’instance faitière du football Africain, In RFI.
Je pense que la CAF souffre aujourd’hui de problèmes de gouvernance qui sont quand même structurels. Donc, il faut réformer beaucoup de choses, notamment nos textes, en commençant par les statuts jusqu’aux règlements de toutes les compétitions, mettre en place des manuels de procédures clairs en matière de finances, ça, c’est un aspect de gouvernance qui sera fondamental. D’un autre côté aussi, je pense qu’il faut donner plus de crédibilité et plus de créativité au football africain. Nous avons un potentiel énorme. Aujourd’hui s’il y a un continent dans le domaine du football qui est un continent d’avenir, c’est l’Afrique. Et aujourd’hui, nous avons aussi un vivier énorme de jeunes talents qui sont là, qui n’ont besoin que d’infrastructures, qui