Selon elles, le rapatriement des recettes d’exportation entraverait l’accès à des financements auprès des banques internationales ainsi qu’aux devises pour le règlement des fournisseurs dans des délais requis. Parlant du non-respect par elles de la réglementation des changes en vigueur dans la zone Cemac, certaines entreprises opérant dans le secteur extractif concernées en ont donné quelques raisons via le journal « Ecomatin ». Elles considèrent par exemple que « le rapatriement des recettes d’exportation entrave l’accès à des financements auprès des banques internationales, et limitent l’accès immédiat aux devises pour le règlement des fournisseurs dans des délais requis », peut-on y lire. Pour ce qui est de l’interdiction de l’ouverture d’un compte en devises hors de la Cemac et à l’intérieur