Dans une enquête menée par LFA auprès de ces derniers, les conditions des microfinances sont jugées plus souples que celles des banques classiques. Alain Nguetsop (Nom d'emprunt), dirige une activité commerciale dans la ville de Douala. Le jeune homme, la trentaine à peine entamée, a démarré son entreprise il y a deux ans. La semaine dernière, il a déposé un dossier pour une demande de crédit dans un établissement de microfinance (EMF) de la ville de Douala d’un montant de 700.000 Fcfa dans le but d’achalander son magasin. Il est sûr d’obtenir une réponse favorable au regard de ses antécédents de remboursement. L’homme qui possède également un compte dans une banque de la place, confie être plus proche des EMF. «