Selon l’Anor elles permettront d'améliorer la compétitivité de ces produits sur les marchés nationaux et internationaux. Depuis le 1er octobre dernier, 133 nouvelles normes ont été approuvées dans les secteurs de l’élevage et de la pisciculture. Elles ont été élaborées dans le cadre du projet de développement des chaînes de valeur de l’élevage et de la pisciculture (Pdcvep). Initiative conduite par le ministère de l’Élevage, des pêches et des industries animales (Minepia), en collaboration avec l’Agence des normes et de qualité (Anor) et la Banque africaine de développement (BAD), partenaire financier. Selon l’Anor, elles visent à renforcer la qualité et la sécurité des produits issus de ces filières au Cameroun, favorisant ainsi leur développement et leur contribution à l’économie camerounaise. Bien plus,
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FILIÈRE LAITIÈRE : 305 milliards de Fcfa pour booster la production entre 2024-2035
Ce chiffre est contenu dans le plan stratégique adopté le 18 juin 2024 par le ministère de l’Elevage, des pêches et des industries animales. Le Cameroun tient désormais sa stratégie pour doper la filière laitière. Elle a été adoptée le 18 juin 2024 par le ministère de l’Elevage, des pêches et des industries animales (Minepia). Evalué à 305 milliards de Fcfa, ledit plan permettra de produire 1 146 600 tonnes de lait entre 2024 et 2035 et réduire la dépendance du pays aux importations de produits laitiers. « Le plan national pour le développement de la filière laitière vise à augmenter la production du lait de façon significative, non seulement pour pouvoir fournir du lait aux populations, mais également pour nous
Controverse autour des 5000 tonnes de poissons saisis à Congelcam Obala
Près de 5000 tonnes de poissons de qualité douteuse saisis à Obala le 23 mars dernier dans une poissonnerie de Congelcam, lors d’une descente du délégué départemental du ministère de l’Elevage, des pêches et des industries animales (Minepia) dans la Lékié. L’affaire fait polémique depuis plusieurs jours sur la place publique camerounaise. En effet, suite à plusieurs plaintes des populations de cette localité située à une quarantaine de kilomètres de Yaoundé, Marthe Mebounou a fait une descente sur le terrain qui s’est avérée fructueuse. Selon cette dernière, « tous ces produits destinés à la grande consommation étaient de mauvaise qualité et impropres à la consommation des populations. Il fallait impérativement procéder à cette saisie pour éviter qu’ils ne fassent l’objet
La Coordination nationale recrute 598 contrôleurs
Ils devront au cours de la période de cette opération, assurer la collecte des données sur l’étendue du territoire national. Le recensement général de l’agriculture et de l’élevage (Rgae) se précise. La coordination nationale de cette opération annonce le recrutement des agents recenseurs et près de 598 contrôleurs. «Placé sous la supervision des coordonnateurs nationaux du quatrième recensement général de la population et de l’habitat, et celui du module de base du recensement général de l’agriculture et de l’élevage, le contrôleur est entre autres chargé de : former les agents recenseurs, organiser et suivre l’exécution de la collecte des données dans sa zone de contrôle et transférer les données collectées par les agents recenseurs vers le serveur central », souligne le
Plaidoyer pour la survie de la filière porcine
Face à la survenue de la peste africaine à l’origine des mesures de restriction prises par les pouvoirs publics, des voix s’élèvent pour la sauvegarde des efforts entrepris dans le cadre du programme Agropoles. Sauver la filière porcine déjà assez fragile. Tel est le voeu des acteurs et des spécialistes en matière de l’élevage et des économistes. Dans une tribune publiée le 27 juillet 2021, l’économiste Louis Marie Kakdeu, suggère aux autorités de réviser les mesures prises dans le cadre de la lutte contre la Peste porcine africaine (PPA) qu’il juge « inappropriées ». En effet, face au décès en masse de porcs dans certaines localités du Cameroun, le ministre de l’Elevage, des pêches et des industries animales (Minepia) a prescrit
Le Cameroun veut réduire son déficit de 100 millions de tonnes
164 vaches ont été remises par le ministre de l'Elevage aux producteurs de trois régions du pays, le 25 février dernier. 164 vaches laitières de la race « montbéliarde » et leurs veaux ont été distribuées aux organisations de producteurs et éleveurs des régions de l'Extrême-Nord, de l'Adamaoua et du Centre. La cérémonie a été présidée par le ministre de l'Élevage, des pêches et des industries animales dans la localité de Louggere, département du Mayo-Louti, région Nord. Au cours de la cérémonie, le Dr Taiga a révélé que la distribution des vaches laitières va booster la production laitière dans le pays qui a un déficit de 100 millions de tonnes par an selon l’Institut nationale de la statistique (INS). Par la