Décédé le 08 août 2021 au Canada des suites de maladie, Christian Penda Ekoka a été inhumé le samedi 28 août au caveau familial à Douala. Plusieurs acteurs politiques ont salué la mémoire du fondateur du mouvement de la société civile AGIR-ACT, au cours de la soirée d’hommage organisée le 26 août dans son domicile au quartier Deido. Ancien conseiller du président Paul Biya entre 2010 et 2018, cet économiste avait fait sensation lorsqu’il avait décidé de démissionner de son poste à la présidence de la République à quelques jours de l’élection présidentielle de 2018, pour soutenir l’opposant Maurce Kamto, candidat du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC). Né le 21 mars 1952 à Douala, Christian Penda Ekoka était
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Mamadou Mota libre après 20 mois de prison
Mamadou Mota, le premier vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) est désormais libre. Incarcéré depuis pratiquement 20 mois à la prison centrale de Kondengui à Yaoundé, l’opposant a été libéré dans la nuit du 4 au 5 février dernier. Arrêté dans le cadre des marches interdites organisées par le parti d’opposition du Pr Maurice Kamto dont il le numéro 2, il avait été condamné à deux ans de prison ferme le 9 septembre 2019 pour son implication selon la justice camerounaise, dans la mutinerie survenue le 22 juillet 2019 dans son pénitencier. Les principaux motifs d’accusation portaient entre autres sur les faits de vols, de destruction en groupe, de tentative d'évasion, de blessures sur détenus. En octobre
Des femmes marches nues pour Kamto
Des femmes nues descendues dans la rue au quartier Santa Barbara àYaoundé, aux abords de la résidence de Maurice Kamto. Les images fontle tour des réseaux sociaux depuis le week-end dernier. Personne n’auraitimaginé une telle scène d’impudicité en plein coeur de la capitale politique,Yaoundé. Ces mères d’un âge avancé pour certaines, arbres de la paix enmain, sont venues réclamer à leur manière, la libération de celui qu’ellesconsidèrent comme leur héros, le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC). L’homme politique est en effet assigné à résidence depuis le 21 septembre dernier, à la veille des dernières marches de contestations initiées par son parti politique pour mettre fin à la guerre dans la partie anglophone du pays, et protester