Grace au numérique, certaines communautés africaines ont su africaines et optimiser leur travail de données. Aujourd’hui, la référence absolue en matière de cartographie c’est le numérique. L’accessibilité des données, avec la généralisation du libre accès, permet à de multiples agences, organisations et collectivités de réutiliser immédiatement les données relevées pour les adapter à leurs besoins. D’après Vivien Deparday, Spécialiste de la gestion des risques de catastrophe, Facilité mondiale pour la prévention des risques de catastrophes et le relèvement (Gfdrr), les cartes numériques sont aussi collaboratives : grâce à des plateformes participatives, comme Open Street Map, chacun peut ajouter une information et améliorer le travail déjà effectué. Depuis le séisme qui a frappé Haïti en 2010, la Banque mondiale et la Facilité