Le secteur privé plaide pour que cette loi tienne compte d’un contexte économique fait d’entreprises grandes, moyennes et petites, qui souffrent et manquent d’oxygène du fait de crises successives ces dernières années. En prélude à la préparation de la loi de Finances 2023, le patronat camerounais a tenu à faire des propositions à l’Etat via le directeur général des Impôts. D’entrée de jeu, il « appelle à une loi des Finances 2023 qui tient compte d’un contexte économique fait d’entreprises grandes, moyennes et petites, qui souffrent et manquent d’oxygène du fait de crises successives ces dernières années, au point de naviguer entre la baisse de l’activité pour certains, l’arrêt complet pour d’autres et du basculement dans l’informel pour d’autres encore »,