Je ne voudrais pas être un devin ou jouer à Cassandre. Mais je dis qu’il ne faut pas baisser les bras, qu’il faut continuer à oeuvrer pour que les Camerounais puissent être à même de reprendre leur destin en mains… qu’ils ont perdu… Ah oui, tout peut arriver. C’est une possibilité, parce qu’il y a des clans qui naissent de partout et de nulle part. Et déjà du vivant du président de la République, ils chantent la victoire. Je considère tout cela comme des élucubrations… Je vais vous dire du fond de mon coeur que, pour moi, être candidat ou être président n’est pas une obsession. Je peux l’être, mais ce n’est pas une préoccupation. Si jamais je le devenais,