Le sport en général et le football en particulier devraient être reprogrammés, reconsidérés comme un levier de croissance économique et de développement. C’est à dire qu’on doit cesser de penser que c’est juste les 11 acteurs ou 22 qui sont impliqués. Aujourd’hui, le sport est un très grand business qui est générateur de beaucoup de profits et même de visibilité. Mais après la visibilité, il y autre chose, il y a le retour sur l’investissement en termes de milliards de dollars. Nous avons maintenant les infrastructures qu’il faut. Est-ce que nous serons dans notre manière de penser, d’agir, de réfléchir, à la hauteur des infrastructures ? Là est toute la question. Et si on s’en prend à ce qu’on voit encore comme l’utilisation des toilettes, ne serait-ce que ça, ça pose problème.