Ça, ce n’est pas notre problème. Notre problème est d’assumer complètement nos responsabilités et les responsabilités que nous avons vis-à-vis de notre peuple. Est ce qu’il serait compréhensible qu’un homme qui va attaquer les institutions de la République puisse se la couler douce, ce n’est pas possible. Il fallait l’arrêter. Il a refusé de se faire arrêter, il est advenu ce qui devait advenir. Est-ce que nous devrions faire un compromis entre l’image du Tchad et l’État de droit ? Ce n’est pas de notre fait, ce sont des faits des gens qui veulent saboter la transition. Pour notre part, cela ne nous empêche pas du tout d’avancer vers le processus électoral en cours. Il n’y a pas d’autre solution