D’après le décret du Premier ministre du 10 octobre dernier, elle est conditionnée par l’obtention d’une licence et d’une autorisation d’exercer. Face aux récriminations des syndicats des chauffeurs de taxi à l’encontre du service de covoiturage de l’opérateur russe « Yango », le gouvernement camerounais a décidé d’agir. Cette dernière comme les autres opérateurs effectuant la même activité, sont désormais assujettis à l’obtention d’une licence ou d’une autorisation d’exercer. Un préalable avant la proposition de service de transport aux personnes via des applications mobiles. Ainsi en a décidé Joseph Dion Ngute, le Premier ministre, chef du gouvernement dans un décret du 10 octobre 2022. Pour ce faire, ces entreprises doivent verser une somme de 15.000 Fcfa au titre de la redevance correspondant