L'ancien délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala est au centre de cette banqueroute qui guette le Smid. La mise sous administration provisoire le 12 février dernier par le Tribunal de première instance de douala Bonanjo, n’augurait pas déjà un bon avenir à la Société métropolitaine d’investissement de la ville de Douala (Smid). La déclaration du Conseil de la communauté du 31 mars ne vient non plus arranger les choses puis qu’elle indique au sujet de la Smid que : « les informations financières disponibles font état d’un résultat d’exploitation déficitaire après plus de deux ans d’activités, d’investissements à l’arrêt et sans perspective de reprises, d’une trésorerie inexistante ainsi que des charges de fonctionnement disproportionnées ». En effet, une