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« Banques du Cameroun » donne à lire sur le capital humain

Dans l’édition de Janvier-février et mars 2022, le magazine de l’Apeccam met l’accent sur ce facteur clé de la croissance et du développement.

«Capital humain, l’or gris des banques » : c’est la Une principale de la dernière édition du magazine de l’Apeccam. Cette publication du mois de janvier, février et mars fait un zoom sur le capital humain, facteur clé de la croissance et du développement. Dans un dossier de 18 pages, le journal promène le lecteur sur les atouts de cette ressource stratégique à même de procurer un avantage concurrentiel aux entreprises. Une pratique très prisée par les patrons de banques comme l’illustre le Dg de CCA-Bank, André Alexis Megudjou, en posture d’invité du mois. « Le personnel étant la ressource première au sein de notre banque, comme nous venons de l’exposer précédemment, un point d’honneur a été accordé à leur montée en compétence. Ainsi, lors de notre migration en banque en mai 2018, nous avons aussitôt procédé au renforcement des capacités du personnel à travers une kyrielle de formations métiers et coaching, non sans observer un renforcement qualitatif des effectifs à travers le recrutement de quelques cadres d’expérience bancaire, tout en préservant l’»ADN» au coeur de la fibre de l’entreprise. Vous pouvez comprendre pourquoi les collaborateurs depuis l’avènement de la banque sont engagés dans un processus de l’amélioration continue et la qualité de service s’améliore au quotidien. Toutes ces mutations opérées au sein de notre capital humain ont créé un fort sentiment d’appartenance au CCA-Bank ainsi que l’appropriation des valeurs de la banque et partant pour créer un climat de travail propice à la réalisation de bonnes performances », explique André Alexis Megudjou.

Ce facteur de la croissance et du développement comme le précise Alphonse Nafack, président de l’Apeccam dans son éditorial, devrait être « au coeur de cette double révolution bancaire, la gestion des ressources humaines n’est pas le moindre des défis. Et dans une économie camerounaise annoncée en mutation vers la connaissance, le capital humain apparaît comme le moteur ou le pivot de la création de valeur des établissements financiers. Aussi, continuer de faire fructifier ce gisement qu’est le capital humain de l’entreprise suppose-t-il une nécessaire adaptation du management à l’évolution des attentes des collaborateurs », renchéri –t-il.

Au-delà du dossier sur le capital humain, « Banques du Cameroun » fait également une incursion sur les risques persistants des créances en souffrance dans le secteur bancaire. « Pour l’instant, celles-ci tiennent le choc, continuant malgré tout, de faire face à la montée des impayées et des créances en souffrance dans un contexte économique difficile, marqué par les effets de la pandémie de coronavirus sur la solvabilité des emprunteurs », relève le magazine.

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