Non pas que je refuse la main tendue, là n’est pas la question, mais j’ai dit simplement que nous sommes dans un processus qui est un processus de réconciliation nationale qui a pris son temps. Comme je l’ai dit, la réconciliation n'est pas une course de vitesse. Il faut la faire de manière à ce que les Burkinabè apaisent les coeurs pour que nous puissions ensemble aboutir à quelque chose qui nous permettent d’avancer. Moi, en ce qui me concerne, j’ai dit simplement que nous aurons certainement, après les élections, à finaliser ce processus et je crois que tout le monde pourra rentrer… Donc pour nous, on considère simplement qu’une fois que nous aurons terminé avec les élections, nous allons