Finance en commun, c’est que tout le monde ait sa place dans un cadre multilatéral, où tout le monde se sente à l’aise. Donc ça peut passer, à un moment, ça ne serait pas la première fois, par des rééquilibrages dans la gouvernance de ces institutions faîtières, celles qui sont tout en haut : les Nations unies, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale. Et puis via l’AFD, via ce réseau dont je vous parle Finance en commun [Finance in common],c’est le rassemblement des 550 banques publiques de développement, depuis la Banque mondiale jusqu’à la Banque de développement du Rwanda. Je pense qu’on peut créer, je l’espère, plus de confiance.