Le directeur général de la Cnps a reçu le 26 avril dernier la médaille de chevalier de l’ordre national de la valeur décerné par le chef de l’Etat.
en récompense de la contribution remarquable de la Caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps) aux opérations de financements de l’Etat sur le marché des titres publics, Alain Olivier Mekulu Mvondo a reçu le 26 avril dernier, la médaille de chevalier de l’ordre national de la valeur décernée par le chef de l’Etat. Cette récompense lui a été remise par le ministre des Finances, Louis Paul Motaze. « M. Noël Alain Olivier Mekulu Mvondo Akame, au nom du Président de la République et en vertu des pouvoirs qui nous sont conférés, nous vous faisons chevalier de l’ordre national de la valeur », a déclaré le membre du gouvernement.
Le Directeur général (DG) de la Cnps n’est pas resté indifférent à cette récompense. « Je suis extrêmement fier de recevoir une telle distinction particulière du Président de la République qui reconnait par-là, d’une certaine manière, nos contributions à l’effort de construction nationale, notamment à travers le financement du budget de l’Etat », aconfié Noël Alain Olivier Mekulu Mvondo Akame
A travers cette distinction, le patron de la Cnps est ainsi hissé sur la marche des plus hautes distinctions honorifiques que le Cameroun a à offrir. Action qui s’est concrétisée par « la structuration de la toute première émission d’obligation du Trésor, d’une maturité de 10 ans avec la Cnps comme investisseur institutionnel de référence », a précisé le Minfi, avant de poursuivre : « C’est d’ailleurs le lieu de féliciter le Dg pour son implication personnelle aux différentes émissions faites par le Trésor sur le marché financier ».
Selon la note d’information de la cellule de communication de la Cnps dont LFA a obtenu copie, l’un des principes généraux en matière d’investissement sur lesquels repose la Cnps est l’utilité économique et sociale, de même que la contribution efficace à la croissance. L’on comprend aisément pourquoi la Cnps a toujours répondu favorablement aux sollicitations de l’Etat à travers diverses avances de trésorerie dont le montant cumulé est chiffré à 57,9 milliards de Fcfa, sans oublier le financement du déficit des formations sanitaires pour compléter l’action de l’Etat. A cela s’ajoute la rénovation de l’immeuble ministériel N°1, la construction du complexe résidentiel d’Okolo pour compléter l’offre immobilière ou encore l’amélioration de l’offre des soins médicaux, via ses structures sanitaires de référence que sont le Centre hospitalier d’Essos et les centres médico-sociaux de Garoua et Maroua. Tout ceci est rendu possible grâce à une gestion efficiente et prudente des ressources financières et à l’optimisation des investissements.
