Elles sont présentées par Qu Dongyu, son directeur général à la faveur de la Cop 28 qui se déroule depuis le 30 novembre dernier dans la ville de Dubaï aux Emirats Arabes Unis. L ’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) est déterminée à aider les pays à évaluer l’étendue et l’ampleur des pertes et des dégâts provoqués par les incidences de la crise climatique sur le secteur agroalimentaire, à mobiliser des ressources financières adaptées et fiables à l’appui de la mise en œuvre des mesures contre ces deux phénomènes dans le secteur. Dans une tribune publiée le 20 novembre dernier par Qu Dongyu, son directeur général, l’organisme onusien veut aussi les aider à évaluer les risques climatiques, à
Tag: FAO
L’avenir alimentaire de l’Afrique en sursis
Malgré sa richesse en terres et une grande variété sur le plan agroé-cologique, l’Afrique subsaharienne est loin d’être à l’abri de l’insécurité alimentaire. C’est en substance ce que l’on peut retenir des « Perspectives agricoles de l’Ocde et de la FAO 2022-2031 » rendues publiques le 29 juin dernier. Fruit de la collaboration entre l’Organisation de coopération et de développement économiques (Ocde) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), avec l’aide d’experts de leurs pays membres et d’organisations internationales, cette production annuelle analyse les perspectives des marchés nationaux, régionaux et mondiaux des produits agricoles, halieutiques et aquacoles de base pour la décennie à venir. La partie consacrée à l’Afrique subsaharienne considérée comme la région qui concentre la majeure
La faim va-t-elle dévorer le monde ?
La situation est chaque jour plus préoccupante, au sujet des cours sans cesse croissants de certains produits alimentaires, largement consommés dans le monde. Cette tendance haussière qui inquiète au plus haut point en Afrique, une région qui importe une grande majorité des aliments que ses populations consomment, vient encore d’être confirmée par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). En effet, dans son dernier indice des prix des produits alimentaires (mesure de la variation mensuelle des cours internationaux d’un panier de produits alimentaires de base), publié le mars 2022, l’agence spécialisée des Nations Unies dont le principal objectif est d’assurer la sécurité alimentaire sur la planète et de veiller à ce que les gens aient un accès régulier à
Les ménages payent le prix des
importations d’huile de palme
«L’indice FAO des prix des produits alimentaires a rebondi en janvier dernier ». C’est ce que révèle globalement l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) dans sa publication du 3 février dernier. L’instrument de mesure de la variation mensuelle des cours internationaux d’un panier de produits alimentaires de base, s’est établie en moyenne à 135,7 points en janvier 2022, soit une hausse de 1,5 point (1,1%) par rapport à décembre 2021. « Le rebond de l’Indice en janvier s’explique principalement par la forte hausse des sous-indices des huiles végétales et des produits laitiers, qui a été partiellement compensée par la deuxième baisse mensuelle consécutive des prix du sucre. Les sous-indices de la viande et des céréales restent inchangés
Prévenir la hausse des prix des produits alimentaires en Afrique
La situation reste préoccupante dans le monde quant à l’inflation des cours de certains produits alimentaires largement consommés dans la planète. L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) vient encore de confirmer cette tendance haussière, à travers la publication le 3 novembre dernier, de son indice des prix des produits alimentaires, une mesure de la variation mensuelle des cours internationaux d’un panier de cinq produits alimentaires de base. « L’Indice FAO des prix des produits alimentaires s’est établi en moyenne à 134,4 points en novembre 2021, soit 1,6 point (1,2 %) de plus qu’en octobre et une hausse de 28,8 points (27,3%) par rapport à novembre 2020 », note l’agence onusienne qui dirige les efforts internationaux pour vaincre
Hausse confirmée des cours mondiaux des produits alimentaires
Il va falloir dépenser plus cher pour se nourrir dans le monde. C’est en substance ce que révèle l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), à travers la publication le 2 septembre 2021, de son dernier Indice des prix des produits alimentaires. L’outil qui mesure chaque mois la variation mensuelle des cours internationaux d’un panier de produits alimentaires de base, s’est en effet établi en moyenne en août 2021, à 127,4 points, soit 3,9 points (3,1%) de plus qu’en juillet. La situation est d’autant plus préoccupante dans la mesure où, entre juillet 2020 et juillet 2021, les prix de ces principaux produits alimentaires ont connu une hausse significative de 31,5 points donc 32,9% en valeur relative. Et selon
L’Afrique s’éloigne de l’autosuffisance alimentaire
Les Africains dans la partie subsaharienne du continent qui enregistre déjà la plus forte prévalence de sous-alimentation au niveau mondial, ont de plus en plus du mal à se nourrir. C’est l’un des enseignements majeurs contenus dans la publication annuelle : « Perspectives agricoles de l’Ocde et de la FAO 2021-2030 ». Le document rendu public le 6 juillet dernier, est le fruit de la coopération entre l’Organisation de coopération et de développement économiques (Ocde) et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Cette situation a principalement été aggravée par la crise sanitaire liée au Covid-19 qui a freiné l’accès aux produits alimentaires à cause notamment des baisses de revenus des populations. Dans le chapitre sur les perspectives et
L’inquiétante hausse des prix des produits alimentaires
La situation est de plus en plus préoccupante dans le monde en ce qui concerne les prix des produits alimentaires dits de première nécessité (céréales, huiles végétales, sucre, viande, produits laitiers) qui ne cessent de grimper. C’est du moins ce qui ressort de la dernière édition de l’Indice FAO des prix des produits alimentaires publié le 3 juin dernier par l’instance onusienne, dont la principale mission est de contribuer à l’édification d’un monde libéré de la faim pour les générations actuelles et futures. Le rapport de la FAO suscite d’autant plus d’inquiétudes dans la mesure où, l’indice en question affiche sa plus forte hausse mensuelle et atteint son niveau le plus haut depuis septembre 2011. Les prix mondiaux des produits
L’Afrique peut profiter de la hausse des prix des produits alimentaires
Tel que c’est parti, 2021 pourrait être une année difficile en terme d’alimentation dans le monde. L’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a en effet annoncé les couleurs le 4 février dernier, à travers notamment son Indice des prix des produits alimentaires publié chaque mois. C’est en fait une mesure de la variation mensuelle de cours internationaux d’un panier de cinq groupes produits alimentaires de base. A la lecture de ce document, il apparait dans l’ensemble que les prix des aliments à l’instar des céréales, les huiles végétales, les produits laitiers, la viande et le sucre connaissent une hausse notoire depuis plusieurs mois et particulièrement en janvier dernier. La plus importante augmentation a été enregistrée au niveau de
Réduction de 50% des importations alimentaires au Gabon en 2022
L’annonce a été faite par ministre gabonais de l’Agriculture, Biendi Maganga Moussavou lors de la 31ème conférence régionale de la FAO tenue du 26 au 28 octobre à Harare au Zimbabwe par vidéoconférence. Ces importations alimentaires coûtent actuellement près de 550 milliards de Fcfa par an à l’Etat. Selon le ministre, les priorités arrêtées pendant ces assises sont en phase avec les principaux programmes en cours au Gabon, lesquels structurent le secteur afin de permettre à l’agriculture gabonaise d’être compétitive. « Nous sommes déjà à l’avant-garde de ce qui a été préconisé au cours de nos échanges », a-t-il déclaré à la presse. En effet, le Gabon est engagé depuis décembre 2018 dans le recensement général de l’agriculture qui permettra dès