Les sociétés de bourse intéressées ont jusqu’au 14 avril 2023 pour souscrire à l’appel lancé par le ministre des Finances à cet effet. L'Etat du Cameroun s'apprête à lancer au courant du mois de mai prochain, son septième emprunt obligataire sur le marché financier de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac) depuis sa création. Pour mobiliser les 220 milliards de Fcfa recherchés, voire au-delà, il s’est lancé à la quête des sociétés de bourse pour arranger cette opération. Cette volonté est contenue dans l’appel d’offres du ministre des Finances, Louis Paul Motaze, du 31 mars 2023 relatif au recrutement d’un consortium d’arrangeurs pour ledit emprunt obligataire. Les sociétés intéressées ont jusqu’au 14 avril prochain pour faire acte de
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L’apport de la cotation des obligations de l’Etat du Tchad
Leur admission le 24 mars dernier à la cote de la Bvmac, a porté à 12, le nombre de lignes obligataires cotées sur cette place financière pour un encours de 1256,3 milliards de Fcfa. La cérémonie marquant la première cotation de l'Etat du Tchad émises en décembre 2022 sous l’appellation « Eotd 6,25% NET 2022-2027 », s’est déroulée le 24 mars 2023. Les titres « Eotd 6,25% NET 2022-2027 » qui viennent de rejoindre les actifs financiers disponibles et négociables sur la plateforme de cotation de la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac), le marché secondaire des valeurs mobilières de la Cemac, viennent renchérir les lignes obligataires cotées avec une augmentation de la contribution du marché financier de l’Afrique
Première cotation de l’emprunt obligataire du Tchad à la Bvmac
La cérémonie de l’emprunt obligataire « Eotd, 6,50% Net 2022-2027 » du Tchad est prévue ce vendredi 24 mars 2023 à Douala. La toute première cotation de l'emprunt obligatoire par appel public à l'épargne « 6,50% Net 2022-2027 » émis par l’Etat du Tchad est annoncée. La cérémonie marquant ce premier pas sur le marché boursier est prévue demain vendredi 24 mars 2023 au siège de la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (Bvmac) à Douala. Le Tchad positionne ainsi son tout premier titre au sein de cette institution boursière, dans le compartiment des obligations. Le 15 février 2023, l’entrée dans le même compartiment du titre « Bdeac 6,00 net 2022-2029 », portant sur un volume global de 11.085.633 titres, la
Hausse de 6% des actifs financiers en Cemac
Selon la Cosumaf, 10 des 11 entreprises en activité dans ce segment au niveau de la sous-région ont géré un encours global de 370,1 milliards de Fcfa au 31 décembre 2022, en légère augmentation par rapport aux 350 milliards de Fcfa de l’année précédente. des 11 entreprises de gestion d'actifs au niveau de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), 10 détiennent un encours global de 370,1 milliards de Fcfa en hausse de 6% au 31 décembre 2022. Selon les données de la Commission de surveillance du marché financier sous-régional (Cosumaf), trois d’entre elles contrôlent 341,7 milliards de Fcfa, soit 92% du portefeuille d’actifs sous gestion dans l’espace communautaire. Le leadership est conservé par la société Harvest Asset Management
Le Cameroun projette son 7ème emprunt obligataire à la Bvmac
Le pays compte lever 200 milliards de Fcfa au mois de mai de l’année en cours. Dans l’optique de couvrir ses besoins de financement, le Trésor public camerounais entend recourir au mois de mai 2023, à un emprunt obligataire sur le marché financier. 7ème du genre, le Cameroun souhaite lever 200 milliards de Fcfa à la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac). C’est la deuxième fois que le pays y lancera de manière successive un emprunt après l’opération réussie de l’année dernière au terme de laquelle, il a pu mobiliser 235 milliards de Fcfa sur les 200 milliards de Fcfa recherchés. Pour ce faire, le pays avait pu obtenir de la Commission de surveillance du marché financier (Cosumaf), une
Louis Banga Ntolo, directeur général de la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac), sur les avantages de la mise en place d’un marché financier africain, In Cameroon Tribune.
Un marché africain des capitaux commun, libre d’accès à tous les pays, crée d’emblée une base de consommateurs ou d’investisseurs d’environ 1,6 milliard de personnes lorsque nous raisonnons à l’échelle de la Zlecaf. Un tel marché permettrait ainsi de mobiliser facilement une épargne faramineuse disponible, à la hauteur des immenses besoins de financement du continent. Il permettrait aussi de capter une épargne internationale en quête de meilleurs rendements, qui viendrait s’investir sur des instruments émis conformément à un cadre réglementaire adapté aux exigences de développement des pays africains. Bref, un grand marché commun des capitaux c’est d’abord une base élargie d’investisseurs ; un potentiel élevé de mobilisation de ressources financières ; une facilité pour les Etats emprunteurs d’implémenter leurs politiques
Emprunt obligataire : Le Gabon lève 175 milliards de Fcfa sur le marché financier de la Cemac
Les résultats de cette opération lancée en octobre dernier ont été dévoilés le 8 novembre 2022 par le ministre de l’Économie et de Relance. 175 milliards de Fcfa. C’est le montant levé par l’Etat gabonais dans le cadre de l’emprunt obligataire dénommé « EOG 6,25% NET 2022-2028 » selon les résultats de l’opération dévoilée le 8 novembre dernier par le ministre de l’Économie et de Relance, Nicole Janine Roboty Mbou (Photo). Réalisée entre le 20 et le 28 octobre 2022, l’opération de recours à l’épargne publique a d’après le gouvernement local, connu un franc succès avec 100% de souscriptions enregistrées, permettant au pays de collecter l’intégralité du montant recherché. Les souscripteurs étaient issus de plusieurs pays de la Communauté économique des Etats
Marché financier : Les raisons de l’intérêt des Etats de la Cemac pour la Bvmac
L’aggravation des incertitudes au niveau international, la forte appréciation du dollar face à l’euro, et la hausse des taux directeurs des banques centrales encouragent de plus en plus les pays de la sous-région. La forte activité des Etats de la Cemac observée ces derniers jours à la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac), traduit avec éloquence sa place dans le financement des économies de la sous-région. Face à la conjoncture mondiale causée depuis 2020 par la pandémie de la Covid-19 et d’autres crises multiformes, le marché financier sous régional est devenu la meilleure alternative pour les besoins de financements des pays. Plusieurs raisons expliquent l’intérêt de ces derniers vis-à-vis de cette place boursière classée parmi les dernières de la planète.
Marché financier : Le Cameroun et la Guinée Equatoriale à la cote de la Bvmac
La Bourse annonce la première cotation de l’emprunt obligataire 2022-2029 du Cameroun, ainsi que celle des actions de la Banco Nacional de Guinea Ecuatorial le 28 septembre 2022. La Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac) veut donner une solennité à sa séance de cotation du 28 septembre 2022. Et pour cause, les Etats du Cameroun et de la Guinée Equatoriale vont faire coter leurs titres sur la plateforme boursière. Le premier va y introduire ses obligations de Trésor tandis que le second va coter les actions de Bange Bank, l’une des grandes banques de l’Afrique centrale. Le programme officiel annonce la présence du ministre camerounais des Finances, Louis Paul Motaze, ainsi que plusieurs membres du gouvernement de la République
Marché financier : Les performances des entreprises cotées à la Bvmac en 2021
Les titres Semc et Siat Gabon ont été stables tout au long de l’année tandis que celui de la Safacam en baisse, Socapalm en demi-teinte, et La Régionale en hausse. 2021 a été une année de relance des activités sur le marché de la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (Bvmac). La plateforme boursière a enregistré un total de 5 admissions de titres à la cote, soit 4 en seulement 6 mois. Cette augmentation de la profondeur du marché a accru l’activité de négociation portant ainsi en fin 2021, le volume échangé, la valeur transigée et le nombre de transactions sur le marché des actions, respectivement à 91%, 77% et 36% par rapport à l’année précédente. Baisse de l’Attrait du titre