Dans le but de soutenir les projets de technologies propres et à faibles émissions de carbone dans ses États membres, le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) va investir 15 millions de dollars (9,12 milliards de Fcfa) en actions pionnières Green+ de catégorie C dans le Groupe de la Banque de commerce et de développement de l’Afrique de l’Est et australe (Groupe TDB). L’annonce a été faite le 8 février 2024 par l’institution financière panafricaine qui ira puiser ces ressources dans le Fonds pour les technologies propres (FTP), une entité du Fonds d’investissement climatiques qui fournit des ressources aux pays en développement afin de booster à grande échelle des technologies à faibles émissions de carbone, qui présentent un
Tag: Akinwumi Adesina
Abbas Mahamat Tolli pressenti à la présidence de la BAD
L’actuel gouverneur de la Beac dont le mandat s’achève en février 2024, sollicite le soutien des chefs d’Etat de la Cemac à ce poste. Après la défaite de Bedoumra Korje, le 28 mai 2015, le Tchad veut présenter à nouveau un nouveau candidat à la présidence de la Banque africaine de développement (BAD) pour succéder au Nigerian Akinwumi Adesina dont le mandat arrive à échéance, en août 2025. Il s’agit d’Abbas Mahamat Tolli, l’actuel gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) dont le mandat à la tête de cette institution prend fin en février prochain. Pour lui garantir plein succès, il bénéficie de l’appui des autorités de son pays. En effet, sous l’égide de Mahamat Assouyouti Abakar, ministre
Akinwumi Adesina primé pour son sens du leadership
Le président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi A. Adesina, a reçu en décembre dernier, le prestigieux prix Obafemi Awolowo du leadership. Cette distinction qui « reconnaît et célèbre l’excellence en matière de leadership», promeut l’héritage et les idéaux démocratiques du défunt leader nationaliste et homme d’État nigérian Obafemi Awolowo. D’après l’ambassadrice Tokunbo Awolowo-Dosumu, directrice exécutive de la fondation Obafemi Awolowo, «M. Adesina a été choisi à l’unanimité par le comité de sélection de la Fondation, qui a estimé qu’il possédait au plus haut degré les qualités nécessaires à l’attribution de ce prix (…) Les attributs considérés comme ayant caractérisé l’excellent leadership du chef Awolowo comprennent l’intégrité, la crédibilité, la discipline, le courage, l’altruisme, la responsabilité,
La BAD annonce la reprise de ses décaissements au Gabon
Dans sa note d’information publiée le 27 novembre 2023, l’institution financière panafricaine a approuvé de nouvelles opérations, mettant ainsi fin à la suspension temporaire de ses financements en direction du pays. La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé le 27 novembre 2023, la reprise des décaissements et l’approbation de nouvelles opérations au Gabon. Tout en réaffirmant son attachement au développement économique et social inclusif dans le pays, l’institution financière panafricaine à travers sa note d’information publiée à cet effet, a approuvé de nouvelles opérations. D’après les experts, cette annonce vient «couronner de succès la nouvelle stratégie de l’exécutif gabonais vis- à-vis des bailleurs de fonds». Dans le cadre du couronnement de ce partenariat, le président de la Transition au Gabon, le
Akinwumi Adesina, président de la Banque Africaine de Développement (BAD), sur l’intégration des économies africaines, In Financial Afrik.
L’agenda 2063 de l’Union Africaine intitulé “L’Afrique que nous voulons” ne peut se réaliser si les gens ne sont pas libres. Les économies africaines ne pourront pas être intégrées si les populations ne le sont pas. Comment investir dans un pays si l’on a du mal à s’y rendre. En éliminant les obstacles à la circulation des personnes, l’Afrique se donne les moyens de véritablement améliorer les échanges et les investissements intra-africains. Je salue la décision historique prise récemment par le président William Ruto du Kenya de permettre à tous les ressortissants africains de venir au Kenya sans visa. Le Rwanda et le Bénin avaient aussi suivi le même processus. Ces trois pays ont en commun une forte croissance et
La BAD débloque 10,2 milliards de Fcfa pour le Cameroun
L’accord de financement y relatif a été signé le 6 juin 2023 par un échange de lettres. La Banque Africaine de développement (BAD) vient d'apporter son soutien à la modernisation des finances publiques du Cameroun. Le ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, Alamine Ousmane Mey a procédé le 6 juin 2023, à la signature par échange de lettre avec le Fonds africain de développement(FAD), d’un accord de prêt adossé au financement du Projet d’appui à la gouvernance des finances publiques (Pagfip). Evalué à 10,2 milliards de Fcfa, ce programme qui couvre la période 2023-2026, vise à « contribuer au renforcement de l’environnement institutionnel et organisationnel de la gestion des finances publiques, à travers la mobilisation accrue
Coopération financière : La BAD évalue le processus industriel du Gabon
En visite de travail dans le pays le 21 novembre dernier, le président de cette institution financière a rencontré le chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba, avant de se rendre à la Zone économique spéciale de Nkok. Le président de la Banque africaine de développement (BAD) s’est rendu au Gabon le 21 novembre 2022 dans le cadre d’une visite de travail. A la tête d’une importante délégation, Akinwumi Adesina a rencontré diverses autorités du pays dont le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Outre le tour d’horizon des relations entre le Gabon et la principale institution financière de développement de l’Afrique, l’entretien entre les deux personnalités a également porté sur l’actualité sous régionale et continentale. Dans les détails, Ali Bongo Ondimba
Pourquoi financer l’industrie pharmaceutique en Afrique
La production des médicaments devrait prendre un nouveau visage en Afrique dans un proche avenir. Ceci devrait se faire grâce au soutien de la Banque africaine de développement (BAD). En effet, fidèle à sa mission première de faire reculer la pauvreté dans ses pays membres régionaux en contribuant à leur développement économique durable et à leur progrès social, la banque panafricaine a décidé de mettre à la disposition de l’Afrique, une enveloppe de 3 milliards de dollars (1738 milliards de Fcfa) pour permettre au continent de mieux renforcer son industrie pharmaceutique. L’annonce a été faite récemment à Dakar au Sénégal par Akinwumi Adesina, président de l’institution financière. D’après le Nigérian, « le continent ayant déjà la matière première nécessaire, doit
Akinwumi Adesina, président de la BAD, sur la dépendance de l’Afrique pour les vaccins anti-Covid-19, In RFI.
L’Afrique ne doit pas et ne peut pas laisser le soin de sa population à la bienveillance des autres. Si les autres n’ont pas eu la générosité, qu’est-ce qu’on va faire ? C’est la raison pour laquelle nous avons dit qu’il faut développer un système de défense de la santé pour l’Afrique. Il faut que les Africains fassent la manufacture de vaccins eux-mêmes, partout. Il faut que l’on développe le secteur pharmaceutique. Et troisièmement, il faut développer l’infrastructure de la santé. A la Banque africaine de développement, nous avons décidé le financement du développement du secteur pharmaceutique, dans lequel nous pensons mettre 3 milliards de dollars d’investissements. Il y a aussi l’aspect du développement de l’infrastructure de la qualité de
Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement (BAD), sur la disponibilité des vaccins contre la pandemie de covid-19 en Afrique, In le Point.
Nous avons fait vraiment tout notre possible pour réagir très vite, mais on se rend compte que seulement 1% de la population africaine a été vaccinée parce que les pays développés ont acheté tous les vaccins. Nous sommes face à un nationalisme vaccinal. Les pays riches se sont occupés d’eux en se souciant peu des autres (…) Il y a aussi que l’Afrique n’a pas les vaccins qu’il faut. Je pense que l’Afrique a été maltraitée par le système. Le continent doit produire ses propres vaccins. On ne peut pas laisser la vie de 1,2 milliard de personnes sur le côté. Nous avons pris la décision de soutenir à hauteur de 3 milliards de dollars l’Union africaine dans l’effort de