Le président de la Banque mondiale et le chef de l’État sénégalais ont lancé un appel conjoint pour renforcer au plus vite la sécurité hydrique et la résilience de l’Afrique. Dans un article produit conjointement par David Malpass, président de la Banque Mondiale et Macky Sall, chef de l’Etat Sénégalais, par ailleurs, président en exercice de l’Union Africaine (UA) et repris par Jeune Afrique, ces deux personnalités affirment que « sans une eau salubre, un système d’assainissement adapté et de bonnes conditions d’hygiène, aucun résultat positif ne peut être atteint dans le domaine de la santé. Et pourtant, un quart de la population mondiale, soit 2 milliards de personnes manque d’eau potable, et la moitié soit 3,6 milliards d’individus ne dispose
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La Banque mondiale prévoit une croissance de 2,8% au Gabon en 2022.
L’institution financière internationale précise qu’en dépit de la crise sanitaire liée à la pandémie mondiale de Coronavirus, cette courbe ascendante devrait être maintenue jusqu’en 2023. La Banque mondiale a publié sa note de conjoncture sur les perspectives économiques mondiales le 16 janvier 2022. Selon l’institution financière internationale, les pays de l’Afrique subsaharienne devraient connaître une année 2022-2023 moins morose du point de vue économique que les années antérieures. En effet, tous les signaux semblent virer au vert pour permettre à ces pays d’amorcer un retour vers des résultats positifs. Et c’est le cas du Gabon. Selon la BM, le pays d’Ali Bongo enregistrera une croissance de 2.8% en 2022. Soit, mieux que l’an écoulé. Il en sera de même en 2023 avec
Reprise économique et pauvreté en Afrique
Les dernières Perspectives économiques mondiales publiées la semaine dernière par la Banque mondiale ne sont pas du tout rassurantes, surtout pour les économies en développement dont la plupart sont situées en Afrique. « La croissance mondiale devrait ralentir sensiblement, pour s’établir à 4,1% en 2022 et 3,2% en 2023, contre 5,5% en 2021, sous l’effet de l’essoufflement du rattrapage de la demande et du retrait des mesures de soutien budgétaire et monétaire à travers le monde », projette l’institution financière internationale dans son rapport. Principale cause de ce repli de croissance, la crise sanitaire liée au Covid-19 qui continue de sévir avec ses conséquences néfastes sur l’économie planétaire. En effet, l’apparition de nouveaux variants de la maladie dont le variant Omicron
45 milliards de dollars envoyés vers l’Afrique en 2021
Selon une note de la Banque mondiale les transferts de fonds vers l’Afrique subsaharienne ont progressé de 6,2 % en 2021. Les envois de fonds vers les pays à revenu faible et intermédiaire devraient connaître une forte augmentation de 7,3% et s’élever à 589 milliards de dollars en 2021. L’information est issue de la dernière note d’information de la Banque mondiale sur les migrations et le développement, publiée le 17 novembre 2021. Selon le document, les envois de fonds vers l’Afrique subsaharienne ont aussi repris de la vigueur en 2021. Ils ont progressé de 6,2% pour atteindre 45 milliards de dollars. «Au Nigéria, premier bénéficiaire de la région, le rebond est modéré, en partie du fait de l’influence croissante des politiques
Hausse de 12% de la dette des pays pauvres
Elle a atteint un niveau record de 860 milliards de dollars en 2020 selon un rapport de la Banque mondiale publié le 11 octobre 2021. Du fait de la crise sanitaire causée par la pandémie à Coronavirus (Covid-19), le poids de la dette des pays à faible revenu s’est accru de 12%, soit un montant record de 860 milliards de dollars en 2020, selon un récent rapport de la Banque mondiale. Celle-ci attribue cette situation aux plans de relance budgétaire, monétaire et financier massifs consentis par les gouvernements pour atténuer l’impact de cette crise sur leurs populations. Avant la survenue de la pandémie, de nombreux pays en développement se trouvaient déjà dans une situation vulnérable en raison du ralentissement de leur
David Malpass, président du Groupe de la Banque mondiale sur le soutien en faveur des pays pauvres, lors des rencontres de printemps 2021.
J'invite instamment tous les pays du G20 à divulguer les conditions de leurs contrats de financement, y compris les rééchelonnements, et à soutenir les efforts de la Banque mondiale pour rapprocher davantage les données relatives à la dette des emprunteurs de celles des créanciers. « J'invite […] tous les pays du G20 à donner des instructions et à créer des incitations pour que tous leurs créanciers bilatéraux publics participent aux efforts d'allégement de la dette, y compris les banques politiques nationales. J'invite également les pays du G20 à agir de manière décisive pour inciter les créanciers privés relevant de leur juridiction à participer pleinement aux efforts d'allégement de la dette souveraine des pays à faible revenu. Les efforts d'allégement de
5 milliards de dollars d’investissements de la Banque mondiale en Afrique
L'institution financière internationale l'a annoncé le 11 janvier 2021 au cours du One planet summit tenu à Paris en France. La Banque mondiale prévoit d’investir plus de 5 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années. Annonce a été faite le 11 janvier 2021 par son président David Malpass. Au cours du sommet sur le climat dénommé « One Planet Summit », un évènement de haut niveau s’est tenu dans la capitale française, Paris. Conjointement organisé par la France et les Nations Unies, il vise à promouvoir la lutte contre les changements climatiques et la préservation de la biodiversité. L’investissement de l’institution financière internationale vise trois objectifs principaux. Il s’agit de la restauration des paysages dégradés, l’amélioration de la productivité