Aline Valérie Mbono est la nouvelle patronne de l’administration du Groupement inter patronal du Cameroun (Gicam). A 46 ans, l’ancienne chef de la division des affaires juridiques de l’Agence nationale des technologies de l’information et de la communication (Antic), a été nommée le 15 janvier 2021 au poste de Directrice exécutive par le Conseil d’administration du principal mouvement patronal du pays. Fait marquant, c’est la première femme à occuper cette prestigieuse fonction au sein du Gicam. Elle remplace ainsi le journaliste Alain Blaise Batongue, qui a présenté sa démission après avoir occupé ce poste pendant 9 ans en qualité de secrétaire exécutif. Titulaire d’une maîtrise en Droit des affaires et d’un Dess en Droit international des affaires (Bac+5) et spécialisée
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Reine Mbang Essobmadje élue vice-présidente du Gicam
Elle est la première femme à occuper ce poste au sein de la principale organisation patronale du pays depuis sa création en 1957. Le bureau exécutif du Groupement Inter-patronal du Cameroun (Gicam) se féminise. Il vient d’enregistrer sa toute première Vice-présidente au terme de sa dernière Assemblée générale élective tenue en décembre 2020. Bien connue du monde des affaires au Cameroun, Reine Mbang Essobmadje était depuis septembre 2017, Présidente de la commission économie numérique. Elle est désormais la première vice- Présidente de ce mouvement patronal. Ce qui fait d’elle la toute première femme a occupé ce poste de responsabilité au sein de ce groupement de patron d’entreprise depuis sa création en 1957. Consultante Internationale et Fondatrice de Evolving Consulting, Reine Mbang Essobmadje
Les axes du plan d’action de Célestin Tawamba
L'amélioration du climat des affaires, l'apurement de la dette intérieure, et l'emploi jeune figurent dans l'agenda du nouveau patron des patrons dont la liste a été réélue avec 95,54% de suffrages exprimés. «Pour faire gagner le Cameroun, faisons gagner l’entreprise ». Tel est le crédo de Célestin Tawamba réélu pour un second mandat à la tête du Groupement inter patronal du Cameroun (Gicam) au terme du scrutin d’hier mercredi 16 décembre 2020. Sa liste seule en lice a obtenu 95,54% des suffrages exprimés. Par conséquent, il entend oeuvrer à rendre les entreprises plus fortes afin de booster l’économie nationale. Pour y arriver, il va falloir lever les différents obstacles aux investissements, mais aussi à la croissance. Pour l’actuel « patron des
La digitalisation comme moyen de rentabilisation de l’entreprise
Les acteurs du numérique recommandent aux entreprises féminins de miser sur une bonne stratégie digitale pour réussir et atteindre leurs cibles. Comment optimiser sa performance digitale et ses résultats ? A cette question, Reine Essombadje, présidente de la Commission économique et numérique du Groupement inter-patronal du Cameroun (Gicam), répond qu’« il ne faut pas se lancer dans le numérique pour faire plaisir aux autres, il faut bien énumérer sa stratégie… ». La femme d’affaires s’exprimait ainsi lors du webinaire organisé le 25 novembre dernier par le Cameroon Women entrepreneurs network (Cwen) sur le thème : « l'entrepreneuriat féminin face aux défis de la digitalisation ». Au Cameroun, les femmes s’investissent de plus en plus dans le digital. L’activité mis en exergue est
Le Gicam présente son livre blanc sur l’économie camerounaise
Ce document propose un état des lieux et un diagnostique de l'économie camerounaise vu par les chefs d'entreprises. Intitulé « l’impératif industriel du Cameroun », le livre blanc de l’économie camerounaise édité par le groupement inter-patronal du Cameroun (Gicam), vient répondre à la problématique de développement du secteur privé. Présenté à la presse mardi 10 novembre au siège du patronat à Douala, ce document met en avant trois piliers pour refonder la politique économique du Cameroun : la promotion des pôles de compétitivité autour des piliers prioritaires ; la promotion d’un véritable patriotisme économique articulé, notamment autour des champions nationaux, de la valorisation des circuits courts et du “made in Cameroun” ; la construction d’une véritable souveraineté nationale dans les secteurs
Le secteur privé réclame une part active
Il l'a indiqué au cours d'une rencontre tenue récemment à Douala entre le ministre de l'Emploi et la formation professionnelle et le Gicam. Vulgariser la loi du 11 juillet 2018 régissant la formation professionnelle au Cameroun et inciter le secteur privé à se l’approprier ainsi que ses textes d’application. Tels sont les principaux objectifs visés par la rencontre entre le Groupement inter patronal du Cameroun (Gicam) et le ministre de l'Emploi et de la formation professionnelle (Minefop), Issa Tchiroma Bakary. Les travaux de Douala qui font partie d'une série d'activités à mener à travers le pays à cet effet, ont connu la participation des chefs d'entreprises, des fonctionnaires, des élus locaux et bien d’autres invités triés sur le volet. Si Roger