Elles ont été formulées au cours d’un atelier national organisé par la Caistab du 13 au 16 février 2024 à Akanda dans le nord de Libreville. Les filières café et cacao au Gabon sont en baisse de performance au Gabon. Dans le but de les redynamiser, un atelier a été organisé à cet effet. Pendant quatre jours, les participants ont examiné la situation et formulé des recommandations afin de rendre plus prospère ces produits. Pour les acteurs du secteur agricole présents à cette rencontre, la diversification de l'économie gabonaise passe par la relance de ces filières. En statuant sur plusieurs aspects de cette relance, ils ont proposé la réhabilitation par l’Etat des centres de production de matériel végétal, la reprise de la
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Le FMI table sur une croissance à 3% au Gabon en 2024
C’est ce qui ressort du communiqué rendu public le 15 février dernier après la mission d’évaluation effectuée par l’institution financière dans le pays du 23 janvier au 6 février 2024. Selon les projections économiques du Fonds monétaire internationale (FMI), la croissance économique du Gabon se situera à 3% en 2024. L’institution de Bretton Woods relève par ailleurs que cette croissance devrait s’accélérer dans les années à venir grâce au dynamisme du secteur non pétrolier, et que des réformes structurelles plus importantes sont nécessaires pour garantir la viabilité budgétaire et stimuler la croissance à long terme. D’après le FMI, il revient donc au gouvernement gabonais d’intensifier les efforts en matière de bonne gouvernance et de transparence. A la fin de la mission dirigée
Vers l’établissement des Cartes nationales d’identité électroniques
Tous les aspects techniques, juridiques, logistiques, informatiques et financiers liés à ce projet ont été abordés le 12 février 2024 au cours d’une rencontre entre le chef de l’Etat gabonais et le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité. on en sait désormais un peu plus sur l’état d’avancement du processus de mise en œuvre de la Carte nationale d’identité électronique au Gabon. En effet, au cours d’une audience à lui accordée le 12 février dernier par le président de la Transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hermann Immongault a abordé tous les aspects techniques, juridiques, logistiques, informatiques et financiers liés à ce projet baptisé Iboga (Identité Biométrique Officielle du Gabon) et
Une société de capital investissement pour booster le transport
Baptisée Fly Air Gabon Holding, cette entreprise d’Etat a pour objet principal la prise de participations, sous quelque forme que ce soit, dans toutes les entreprises gabonaises ou étrangères dont l'activité est rattachée au domaine du transport. Le chef de l’Etat gabonais, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, a présidé le 7 février 2024, un nouveau Conseil des ministres au Palais présidentielle. Comme il est de coutume, plusieurs projets de textes ont fait l’objet de délibération par les membres du gouvernement au cours des travaux. Ainsi, sur le plan économique, le projet d’Ordonnance portant création, attributions et organisation de la nouvelle entreprise Fly Air Gabon Holding (Flagh) soumis par le ministre de l’Economie et des participations a été approuvé. Selon le texte,
Le FMI salue l’exécution des réformes économiques au Gabon
A la tête d’une mission qui a séjourné pendant deux semaines dans le pays, Facine Sylla, l’administrateur de l’institution financière internationale a exprimé son satisfecit. entamée le 24 janvier dernier, la mission régulière du Fonds monétaire international (FMI) conduite par l’administrateur Facine Sylla s’est achevée hier 6 février à Libreville. Elle a ainsi permis pendant près de deux semaines de faire un diagnostic de la situation économique, financière et sociale du pays, afin de prendre la pleine mesure de la situation et apporter des analyses et recommandations. A en croire le Chef de mission, l’institution financière internationale avait, dans ses récentes missions, plusieurs réformes qui n’ont pas été mises en œuvre par les précédents gouvernements, notamment le compte unique du trésor, l’accumulation
204 milliards de Fcfa pour un projet de Tramways
L’infrastructure qui devrait voir le jour d’ici 2026 va faciliter la mobilité urbaine dans cette partie du pays. 204 milliards de Fcfa. C’est le montant nécessaire pour la réalisation d’un projet de Tramways dans le Grand Libreville. Inscrite dans le Plan national de développement pour la Transition (Pndt), la mise en œuvre de cette infrastructure à l’horizon 2026 rentre le cadre de la volonté des nouvelles autorités gabonaises de faciliter la mobilité urbaine sur le territoire national. Une grande part de cette enveloppe, soit 180 milliards de Fcfa, sera consacré à la construction de l’infrastructure proprement dite dès 2025. Pour le reste, 15 milliards de Fcfa vont être utilisés pour les travaux de libération de l’emprise du projet du tramway, et
1333 milliards de Fcfa pour les projets d’infrastructures routières
Etalés entre 2024 et 2026, ces financements serviront à l’aménagement et à la réhabilitation des routes et des voiries urbaines ainsi qu’à la construction des bâtiments publics. Les nouvelles autorités gabonaises réunies au sein du Comité pour la transition et la restauration des institutions (Ctri) ont à cœur de rehausser l’offre en infrastructures routières du pays. En effet, selon le Plan National de développement pour la Transition (Pndt), destiné à conduire les actions prioritaires du gouvernement de la Transition, l’Etat entend consacrer la somme de 1333 milliards de Fcfa aux projets d’infrastructures routières entre2024 et 2026. De manière détaillée, la répartition réalisée à cet effet prévoit l’utilisation de 25,1 milliards de Fcfa en 2024, 601,1 milliards de Fcfa en 2025 et
Le Gabon dévoile son potentiel aux investisseurs émiratis
C’est le cadre d’une mission économique effectuée la semaine dernière dans le pays par les membres de la Confédération de la Chambre de Commerce des Émirats Arabes Unis. Le Gabon a accueilli au cours de la semaine dernière, une délégation de la Confédération de la Chambre de Commerce des Émirats Arabes Unis. Lors de cette visite officielle, les hommes d’affaires émiratis avec à leur tête Humaid Mohammed Ben Salem, secrétaire général de cette institution, ont échangé avec diverses autorités gabonaises, dont le Premier ministre (PM) de la Transition, Raymond Ndong Sima. La rencontre tenue le 22 janvier 2024 entre les deux parties, a pour l’essentiel porté sur la possibilité d’investir dans des secteurs porteurs de croissance. « Nous savons que le
Alexandre Barro Chambrier, président du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM), sur sa nomination au poste de Vice-premier ministre en charge du Plan et de la prospective à la faveur du remaniement ministériel du 15 janvier 2024, In RFI.
J’ai pu voir l’importance des réalisations. Nous étions déjà partie prenante au niveau parlementaire. C’est la suite logique. Nous sommes au gouvernement pour apporter notre expertise. L’orientation qui est donnée par le président va dans le bon sens. Nous sommes en train de rattraper le temps perdu. Évidemment, il faut du temps, nous avons 20 mois pour atteindre les objectifs qui ont été assignés. J’ai déjà eu le privilège de servir le pays. La question qui se pose, c’est d’être en capacité de contribuer à remettre le Gabon en ordre de marche. Je suis un homme libre, attaché à la liberté de penser. Ce qui me guide est précédé par la nécessité d’apporter des solutions à notre pays.
Le Commissariat général au plan créé au Gabon
Sa création a été approuvée lors du Conseil des ministres tenu le 22 janvier 2024 sous la présidence du général Brice Clotaire Oligui Nguema. après le remaniement ministériel effectué il y a quelques jours, le président de la Transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, a présidé le 22 janvier dernier, son deuxième Conseil des ministres de l’année. La nouvelle équipe gouvernementale élargit à 31 membres contre 26 auparavant, a ainsi été instruite par le chef de l’Etat « à faire preuve de dynamisme et d’ardeur au travail fondés sur les valeurs de cohésion, de rigueur, de respect mutuel et de respect des Institutions, en vue de la mise en œuvre concrète des réformes et projets sectoriels visant le développement du