«L’Afrique en mouvement-accélérer la connectivité durable des transports et de la logistique ». C’est sous ce thème que va se tenir la deuxième édition du Forum africain des transports prévue du 18 au 19 septembre prochains à Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire. L’évènement qui va rassembler des décideurs politiques, des industriels, des experts du secteur, des ministres des Transports et des Infrastructures, des représentants des autorités routières, portuaires et aéroportuaires ainsi que des dirigeants d’organisations internationales, vise à «faire progresser les réformes critiques du secteur et les solutions innovantes ». Sous la férule de la Banque africaine de développement (BAD), les participants aborderont des sujets critiques tels que la promotion d’une plus grande participation du secteur privé au développement
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ASSEMBLÉES ANNUELLES : La nouvelle Stratégie décennale 2024-2033 de la BAD
La rencontre a réuni du 27 au 31 mai 2024 quelques 10000 participants à Nairobi au Kenya autour du thème lié à la transformation de l’Afrique. La ville de Nairobi au Kenya a abrité du 27 au 31 mai derniers, les Assemblées annuelles 2024 du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD). Pas moins de 10 000 participants dont une vingtaine de chefs d’État et de gouvernement, ont pris part à ces assises qui se sont déroulées en mode hybride sous le thème : « La transformation de l’Afrique, le Groupe de la Banque africaine de développement et la réforme de l’architecture financière mondiale ». Lors de cet évènement présidé par le Pr Njuguna Ndung’u, ministre kenyan du Trésor national et
La BAD annonce la reprise de ses décaissements au Gabon
Dans sa note d’information publiée le 27 novembre 2023, l’institution financière panafricaine a approuvé de nouvelles opérations, mettant ainsi fin à la suspension temporaire de ses financements en direction du pays. La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé le 27 novembre 2023, la reprise des décaissements et l’approbation de nouvelles opérations au Gabon. Tout en réaffirmant son attachement au développement économique et social inclusif dans le pays, l’institution financière panafricaine à travers sa note d’information publiée à cet effet, a approuvé de nouvelles opérations. D’après les experts, cette annonce vient «couronner de succès la nouvelle stratégie de l’exécutif gabonais vis- à-vis des bailleurs de fonds». Dans le cadre du couronnement de ce partenariat, le président de la Transition au Gabon, le
Akinwumi Adesina, président de la Banque Africaine de Développement (BAD), sur l’intégration des économies africaines, In Financial Afrik.
L’agenda 2063 de l’Union Africaine intitulé “L’Afrique que nous voulons” ne peut se réaliser si les gens ne sont pas libres. Les économies africaines ne pourront pas être intégrées si les populations ne le sont pas. Comment investir dans un pays si l’on a du mal à s’y rendre. En éliminant les obstacles à la circulation des personnes, l’Afrique se donne les moyens de véritablement améliorer les échanges et les investissements intra-africains. Je salue la décision historique prise récemment par le président William Ruto du Kenya de permettre à tous les ressortissants africains de venir au Kenya sans visa. Le Rwanda et le Bénin avaient aussi suivi le même processus. Ces trois pays ont en commun une forte croissance et
La BAD lève ses sanctions financières sur le Gabon
C’est le fruit des manœuvres menées par le gouvernement du pays avec à sa tête le Premier ministre (PM) de la Transition, Raymond Ndong Sima. après plusieurs semaines de dialogue avec la Banque africaine de développement (BAD), les nouvelles autorités gabonaises ont finalement réussi à faire lever les sanctions financières que l’institution financière panafricaine avait imposé au pays, à la suite du coup d’Etat militaire qui a porté le général Brice Clotaire Oligui Nguema au pouvoir. La nouvelle rendue publique le 6 novembre 2023 est le fruit des manœuvres menées conjointement par le Premier ministre(PM) de la Transition, Raymond Ndond Sima, et le ministre de l’Économie et des Participations, Mays Mouissi et le ministre des Comptes publics, Charles M’ba. « Elles
Une solution de contrôle de facturation électronique de la TVA au Gabon
L’initiative menée par le ministère de l’Economie et de la Relance à travers la Direction générale des impôts, vise à améliorer la collecte des impôts et taxes nécessaires au financement des services publics. Le Gabon veut se doter d'une solution complète de contrôle de facturation électronique de la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA). C’est l’ambition du ministère de l’Economie et de la Relance à travers la Direction générale des impôts (DGI), grâce au financement de la Banque africaine de développement (BAD) dans le cadre du projet d’appui à la diversification de l’économie gabonaise (Paged). Il est question de recruter un cabinet dont la tâche sera la mise en place de ce nouvel outil. L’objectif étant d’améliorer la collecte des impôts
Jacques edjangue confirmé vice-président de la bad
Jacques Edjangue vient d’être confirmé au poste de vice-président chargé de la gestion des personnes et des talents à la Banque africaine de développement (BAD). Le Camerounais qui avait déjà assuré l’intérim pendant un an à la tête de cette nouvelle structure créée dans le but d’apporter beaucoup plus d’attention et de visibilité à la gestion des personnes et des talents à la BAD et pour renforcer l’engagement du personnel et leur expérience globale, prend fonction le 16 juin 2023. L’ancien directeur par intérim du Département des ressources humaines et directeur du Département des services linguistiques du Groupe de la Banque (juin 2020-juin 2022) est un cadre chevronné de haut niveau ayant à son actif plus de 28 ans d’expérience
Afrique : 8,9 milliards de dollars pour le développement des infrastructures
Le Fonds africain de développement (FAD), guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) qui accorde des dons et des prêts à taux préférentiels aux pays à faible revenu d’Afrique, vient de bénéficier d’une enveloppe globale de 8,9 milliards de dollars (5 543,7 milliards de Fcfa) pour son cycle de financement entre 2023 et 2025. Soit 8,5 milliards de dollars (5293 milliards de Fcfa) de financement de base et 429 millions de dollars (266,8 milliards de Fcfa) pour son nouveau Guichet d’action climatique. Parmi les principaux contributeurs du continent, figurent des pays tels que l’Angola, l’Égypte et l’Afrique du Sud auxquels sont venus s’ajouter l’Algérie et le Maroc qui ont pour la première fois apporter leurs soutiens financiers.
Résilience économique : La BAD prépare les pays du continent sur les effets de la fragilité
C’est à la faveur d’un atelier de formation qui s’est achevé le 2 décembre 2022 à Yaoundé. Afin de réduire les effets de la fragilité sur la résilience des pays africains, la Banque africaine de développement (BAD) a adopté une nouvelle stratégie pour la période 2022-2026. Elle était le principal centre d’intérêt de l’atelier de formation organisée la semaine dernière par la Banque en partenariat avec le ministère de l’Economie, de la planification et de l’aménagement du territoire (Minepat). Co-présidé par Serge Nguessan, directeur général du Bureau régional de la BAD pour l’Afrique centrale et Bekolo Dorothy Tataw, Directeur de la coopération régionale au Minepat, représentante du ministre Alamine Ousmane Mey, empêché, cet atelier qui a regroupé des participants venus de
Afrique : La diaspora africaine peut être un moteur de développement du continent
Le rôle de la diaspora africaine dans le développement économique du continent était au centre d’un forum de la Banque africaine de développement (BAD) tenu à Abidjan du 1er et 2 décembre 2022, à la fois en présentiel et en visioconférence. L’évènement organisé en partenariat, avec la Commission de l’Union africaine, l’Organisation internationale des migrations (OIM) et le secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), s’est déroulé sous le thème : «Développement sans frontières : Mobiliser la diaspora africaine pour une croissance inclusive et un développement durable en Afrique ». Ainsi, des centaines de personnalités du monde universitaire ainsi que des dirigeants d’institutions internationales, se sont retrouvés à cette occasion pour cogiter autour des thèmes tels que la sécurisation